Sleeping Nymphs et Tour de Nièvre

Tour de Nièvre

29 Mai 2018 , Rédigé par education-programme

Captures d'écran - C'est la vie ! Images d'archives

Publicity; Advertising; La Nièvre

http://education-programme.over-blog.com/2017/06/captures-d-ecran-1.html

Bonne nouvelle !

13 Mai 2018 , Rédigé par éducation-programme

Les travaux de restauration du Pavillon des Sources de Pougues-les-Eaux viennent de débuter, sablage, antirouille, réfection des joints... Mais ils risquent de durer un certain temps, au moins jusqu'en juillet, puisqu’une seule personne pour l’instant se charge de ces importants travaux...

Le coût prévisible ( 70 000 € ) avait été inscrit au budget 2017 du département et une consultation des entreprises a bien été lancée, mais finalement ce sont les Services techniques du département qui réalisent cette restauration, dans les règles de l’art ?

La rouille du Pavillon des Sources - C'est la vie ! Images d'archives

Bonjour, J'attire votre attention sur l'état du Pavillon des Sources de Pougues-les-Eaux...

-----Message d'origine-----

From: Jalf Flach Sent: Saturday, July 08, 2017 3:42 AM To: ...

http://education-programme.over-blog.com/2017/07/la-rouille-du-pavillon-des-sources.html

Les Nymphes du Pavillon des Sources, du Parc Saint-Léger et alentours !

La RATP exposera-t-elle la Nièvre ?

https://web.archive.org/web/20231001202709/https://marc.verat.pagesperso-orange.fr/RATP-images.htm

La Loire près de Fourchambault

Nous sommes en 1925, la marine de Loire a rendu l'âme. Le chemin de fer a eu la peau des piliers de barre, des grandes gueules et des vilains garçons. Les bateaux moisissent à quai, il n'y a plus de belles voiles carrées sur le fleuve. Pourtant ici, on s'agite sur le plan d'eau devant le pont. Un drôle de bateau, sans rame ni voile remonte le courant pour s'envoler juste avant le passage du pont.

C'est un hydravion. Le ministère de la Marine a jeté son dévolu sur la Charité pour en faire un aéroport. Un petit gars du pays travaille au ministère, on n'est jamais aussi bien servi que par les siens. L'idée fait son chemin. Le pays a besoin d'une base avant Paris. Charité bien ordonnée commençant par soi-même, le rejeton de la cité nivernaise posa son dévolu à deux pas du prieuré clunisien. Bientôt la ville s'équipe d'une infrastructure convenable pour acquérir le trafic.

De 1925 à 1939, les « aloirisages » se multiplièrent sur le plan d'eau entre la rive et le Dhuy. S'il n'y eu de répertoriés que 94 mouvements d'appareils de ligne, ce sont les vols de démonstration, les baptêmes de l'air et les meetings aériens qui firent l'essentiel d'une activité très significative et fort juteuse pour certains. De toute la région, les gens se pressaient pour s'offrir une petite virée sur la Loire et dans les cieux.

Pour nourrir les hydravions, il fallait des bidons de gazoline et d'huile de ricin pour que la flottille prenne l'air et possède de quoi revenir au port. Les bidons de deux cents litres faisaient rarement la maille. Comme autrefois pour le fer, ils étaient remplis à l'estime, Il y avait souvent tromperie de cinq à dix litres, ce qui est toujours fâcheux ! Sur l'huile de ricin, la part des anges prenait une bien moindre proportion car ceux-ci ne faisaient que deux litres.

Cf/ La Camosine n°96